La formation des implantologues en implant basal en France est en retard, cela prendra plusieurs décennies à combler ce manque de compétence.
Système de formation sous les critiques
Le système universitaire de formation d’implantologue est sous le feu des critiques pour ne pas avoir investi dans l’implantologie corticale et plus précisément l’implantologie basale.
En effet, des accusations vont même plus loin puisqu’ils auraient investi consciemment dans des systèmes moins performant. Sous la pression de grands groupes internationaux pour garder leur monopole et vendre uniquement leurs produits au détriment du patient.
Alors que les français sont reconnus dans des spécialités comme l’orthodontie. La chirurgie orale à pris un retard considérable du fait des grandes multinationales ne souhaitant pas perdre leur monopole. Grâce à des actions de lobbying sur les enseignants universitaires français.
Pourquoi peu d’implant basal en France ?
L’utilisation du titane lissé qui est la base de l’implantologie basale est utilisé avec succès depuis de nombreuses années. Par exemple, dans des spécialités comme la chirurgie orthopédique. Avec les prothèses de hanches par exemple, la chirurgie réparatrice permet de reconstituer des os après une fracture.

Hors de France, l’implantologie basale BAX se généralise dans de nombreux pays (USA, Russie, Canada, Asie et Europe de l’Est). Elle à reçu l’autorisation de l’agence américaine de sécurité de la santé (connue pour être la plus stricte au monde). Malgré les nombreuses études qui dénotent un taux de réussite plus élevé, l’implantologie basale qu’on appelle aussi implant cortical ou implant stratégique n’est enseignée que dans quelques universités et facultés dentaires comme celle de Nice.
Certifications implant basal en France
Il est nécessaire pour les chirurgiens-dentistes désirant pratiquer l’implantologie immédiate basale de revoir tous leurs acquis. Les règles imposées en implantologie dentaire traditionnelle ne sont pas transposables à l’implantologie basale.

Elles seront même pour certaines d’entre elles fortement contre-indiquées. La mise en charge immédiate en est un exemple frappant. Lorsqu’il sera nécessaire d’attendre 6 mois – 1 an l’ostéo-intégration des implants dentaires (traditionnels), les implants basaux seront eux mis en charge dans les 72 à 96 h qui suivent l’implantation.
Ceci permettant une répartition des forces de mastication. Pour permettre une réalisation en temps et en heure des prothèses, des moyens techniques sont nécessaires. Ces derniers sont malheureusement manquants en France puisque les cliniques dentaires basal se comptent sur les doigts d’une main.
En effet, la seconde problématique rencontrée par les dentistes français. Les moyens matériels avec le manque d’équipement dans leurs cabinets et cliniques qui sont du au pays avec les taxes, les couts salariaux ect.
Moyens humains et matériaux
Le protocole d’implantologie basale nécessite des moyens techniques et humains importants en comparaison à l’implantologie traditionnelle. En implantologie basale de dernière génération, la prothèse doit être fixée dans les 72 à 96 heures qui suivent la pose des implants dentaires.

Les essais en bouche sont réalisés tout au long du processus. Cela impose à la fois que la clinique dentaire dispose d’un laboratoire de prothèse dentaire dans sa clinique, ainsi que ces techniciens soient formés pour ce type de traitement.
Le laboratoire de prothèses dentaires est également spécifique avec des appareils spécialement conçus. La clinique doit disposer d’un système d’imagerie médicale et du matériel d’implantologie adapté. Compte tenu du fait que 90% des implantologues en France travaillent en cabinet la plupart ne disposent pas des infrastructures suffisantes. Les créations des mâchoires/prothèses doivent être envoyés dans un laboratoire spécialisé en France ou à l’étranger. Ce qui ne permet pas de respecter les délais de l’implantologie immédiate basale.
Qui sont les grands perdants ?
En conclusion, les perdants sont bien sûr les patients puisque les technologies modernes moins coûteuses que les implants traditionnels existent. Ils n’auront donc aucun autre choix que de payer des sommes pharaoniques en France pour se rendre chez un des 2 chirurgiens-dentistes habilité à l’implantologie basale BAx ou se rendre à l’étranger.
Sourire Dentaire travaille avec le co-créateur de l’implant basal qui intervient depuis plus de 20 ans sur tout types de cas et surtout les plus difficiles.
Si vous avez des question ou si vous souhaitez obtenir un devis, n’hésitez pas à nous contacter !